Triennale 2012 de l’éducation: Ouagadougou prêt pour le plus important événement sur l’éducation en Afrique

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De gauche à droite, le secrétaire exécutif de l'ADEA, le ministre de l'éducation, Mme Koumba Boly et un coordonnateur général de l'ADEA.

La Triennale 2012 sur l’éducation, organisée par l’Association pour le développement de l’éducation en Afrique (ADEA) en partenariat avec le gouvernement burkinabè, se tient à Ouagadougou du 12 au 17 février 2012. En prélude à cette importante rencontre, un point de presse à été animé ce jeudi matin par le Ministère de l’Éducation et les premiers responsables de l’ADEA, portant sur les préparatifs, les enjeux de ce forum et d’autres questions y relatives.Plus que deux jours et Ouagadougou sera l’hôte du plus important évènement africain sur l’éducation. Un évènement qui verra une convergence de chefs d’États, de ministres de l’éducation de tout le continent, des partenaires aux développements ainsi que des représentants de la société civile, des universitaires et chercheurs, autour de la problématique de l’éducation et de la formation pour le développement durable. Ils seront environ 800 participants, décideurs, experts et acteurs, pour réfléchir, partager et apporter des réponses sur comment l’éducation peut contribuer au développement durable de l’Afrique. Ils seront guidés par un thème central : « Promouvoir les connaissances, compétences et qualifications critiques pour le développement durable de l’Afrique : comment édifier/concevoir une réponse efficace des systèmes d’éducation et de formation ? »

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Cette Triennale n’est que l’aboutissement d’un processus de concertations lancé en décembre 2010, a précisé Mme le Ministre de l’Education Nationale et de l’Alphabétisation, Koumba Boly/Barry. Elle est annoncée pour être un cadre de partage des résultats de différents travaux de l’ADEA sur la contribution de l’éducation au développement durable. Les organisateurs pensent déjà à l’après Ouaga : dans l’esprit d’assurer un bon suivi et la diffusion des fruits des échanges. Dans ce cadre, des pistes seront dégagées au cours même de la triennales, comme le rappelle le Secrétaire exécutif de l’ADEA, Ahlin Byll-Cataria.

Le Burkina Faso, qui présentait un environnement favorable aux yeux des responsables de l’ADEA, et dont les plus hautes autorités portent les préoccupations et ambitions en matière d’éducation, se prêtait ainsi comme l’hôte bien trouvé de cette Triennale. Le pays entend saisir l’opportunité pour faire montre aux yeux de l’Afrique de ses innovations dans le domaine de l’éducation et particulièrement celle non-formelle, a confié Mme le Ministre lors du point de presse.

Du côté des préparatifs, tout semble fin prêt. En attendant l’ouverture officielle par le Président du Faso, patron de la Triennale, deux moments importants ont été annoncé. Il s’agit de la journée de la diaspora pour le 11 février, un focus sur sa contribution au développement de l’éducation et une journée Corée-Afrique le 12, cadre d’échanges autour de l’expérience sud-coréenne en matière d’éducation et de développement.

 

 

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Justin Yarga

Journaliste web qui teste des outils de Webjournalisme et datajournalisme, Media strategy consultant.

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