Santé de la reproduction, 20 milliards pour améliorer les services

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La signature des Accords par le ministre de l'Economie et des Finances et la représentante résidente de la Banque mondiale. Ph B24

La Banque mondiale a accordé un financement de 41,6 millions de dollars US, soit plus de 20 milliards de francs CFA au Burkina Faso pour accroître la qualité des services de santé de la reproduction au profit des populations.

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Le Financement a été matérialisé à travers la signature de deux accords le mardi 14 février 2012, par le ministre de l’Economie et des Finances, Lucien Marie Noël Bembamba, et la représentante résidente de cette institution financière internationale, Galina Sotirova.

Il s’agit d’un don que la Banque mondiale met à la disposition du Burkina Faso à travers l’International development Action (IDA) et le Fonds fiduciaire multi donateur, pour le financement du Projet Santé de la reproduction.

L’objectif est d’améliorer en termes d’utilisation et de qualité, les services de santé de la reproduction dans plusieurs régions du pays. Le projet prévu pour une durée de cinq ans va s’exécuter en deux composantes.

La première est la fourniture d’ensemble de services de santé maternelle et infantile essentiels et de services de santé connexes, et la deuxième concerne les intrants indispensables aux services de santé de la reproduction.

Le taux de croissance démographique étant un obstacle majeur à la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement, le projet ainsi financé doit également mettre l’accent sur la planification familiale, et contribuer à augmenter le taux de prévalence  contraceptive des méthodes modernes, a ajouté Galina Sotirova.

Selon elle, il s’agit d’exploiter le potentiel économique du Burkina afin d’achever sa transition démographique. Des efforts étaient déjà faits dans ce sens, que la Banque mondiale a salué. La réprésentante résidente de la Banque mondiale a enfin souhaité que ces accords de don puisse entrer en vigueur dans les délais impartis, afin de maximiser les résultats.

La mise en œuvre du projet, selon le ministre de la Santé, Adama Traoré, va sans aucun doute impacter la qualité des services pré et post-nataux surtout vers des résultats concrets sur la santé de la mère et de l’enfant particulièrement en zone rurale.

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