Le Général appuie ainsi la solution proposée par le médiateur de la CEDEAO et est favorable à l’instauration d’un dialogue entre le gouvernement malien et les différents groupes armés au Nord Mali, tout en faisant cependant la distinction entre les groupes terroristes et ceux qui ne le sont pas. Position partagée également par l’Algérie qui n’est pas favorable à l’option militaire.
Tout doit commencer par le rétablissement d’un pouvoir “légitime” à Bamako , selon le commandant de l’Africom, qui est toutefois favorable à un partenariat de formation et d’échanges de renseignements avec les pays de la sous-région.

