FESPACO: Deux films de Pazouknam Jean-Baptiste seront en compétition

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Le jeune réalisateur Pazouknam Jean-Baptiste Ouédraogo. Ph.B24
Le jeune réalisateur Pazouknam Jean-Baptiste Ouédraogo. Ph.B24

Con Fess et Une partie de nous du jeune réalisateur Pazouknam Jean-Baptiste OUEDRAOGO seront en compétition respectivement dans les catégories « courts métrages » et « films d’école ». Ces films ont été présentés aux journalistes, le jeudi 14 février 2013 lors d’une projection-presse à Ouagadougou sous le parrainage de Rabankhi Abou-Bâkr Zida, Directeur général des éditions Sidwaya.

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Le réalisateur de Con Fess et Une partie de nous, Pazouknam Jean-Baptiste Ouédraogo, étudiant en master à l’Institut de l’image et du son (ISIS) compte bien se faire une place dans la sphère des grands réalisateurs en saisissant l’occasion du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO). Con Fess d’une durée de 4’43’’ sera en compétition dans la catégorie des courts métrages et « Une partie de nous », d’une durée de 13’ sera en salle et défiera ses pairs de la catégorie « films d’école ».

Con Fess qui vient du terme anglais « to confess » met en scène un ancien politicien africain qui, au soir de sa vie, se résout à la confession de ce qu’il a fait dans la rubrique du mal à son pays et à son continent, qu’incarnent respectivement sa sœur et sa mère, dans le film. Une partie de nous est, quant à lui, un film d’inspiration écologique qui relate l’histoire d’une fillette passionnée de la nature, qui a des facultés extraordinaires à communiquer avec cette nature et se bat pour sauver son ami arbre, victime des actions destructrices des hommes.

Représentant du parrain Alassane Kéré. Ph.B24
Représentant du parrain Alassane Kéré. Ph.B24

Pour le représentant du parrain, Alassane Kéré, il est nécessaire de soutenir ce jeune qui nourri beaucoup d’ambitions et d’envie pour le cinéma afin qu’il puisse « contribuer à faire rayonner l’image du Burkina Faso à travers son art » a-t-il dit. Et le réalisateur d’ajouter : « En tant que jeune, nous avons besoin de soutien et il faut une réelle politique d’accompagnement pour que nous arrivions à assure l’avenir cinématographique du pays». Ces films « tests » pour celui qui nourrit de grandes ambitions dans le métier de cinéma a couté environ 4.500. 000 FCFA à l’équipe de la réalisation et appuyée de partenaires.

Salifou OUEDRAOGO

pour Burkina24

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