Déclaration universelle des Droits de l’Homme: 65 ans après, Amnesty réaffirme le principe de protection des Droits humains

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La section burkinabè d’Amnesty International a commémoré ce mardi le 65e anniversaire de l’adoption de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme (DUDH). Elle a réaffirmé pour l’occasion, le principe de promotion et de protection des droits humains, au cours d’un point de presse animé ce matin à Ouagadougou.

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Le 10 décembre 1948, les Nations Unies adoptaient la Déclaration universelle des Droits de l’Homme (DUDH). 65 ans après, le contexte international dans lequel Amnesty International commémore l’anniversaire de l’adoption de ce texte, fondement de sa vision, reste marqué par des crises et des guerres. « Après 65 ans, Amnesty International reste préoccupé par la situation des droits de l’Homme à travers le monde », a déclaré Roger Minoungou, chargé de croissance et d’activisme de la section. Les cas les plus suggestifs, évoqués par le staff de la section, ce sont le Mali où Amnesty international dénonce des homicides et des disparitions forcées, et la Centrafrique où le mouvement appelle à une protection efficace des populations contre les violences.

Face à une situation, jugée « pas rose », la section burkinabè d’Amnesty a réaffirmé le principe de la promotion et de protection des droits humains et lancé un appel pour le respect des droits humains en Afrique.

Au premier plan, Roger Minoungou et Christian Ouédraogo, animateurs du point de presse de ce mardi 10 décembre 2013. © BURKINA 24
Au premier plan, Roger Minoungou et Christian Ouédraogo, animateurs du point de presse de ce mardi 10 décembre 2013. © BURKINA 24

Au Burkina Faso, malgré la consécration de nombreux droits et la ratification de nombreuses conventions, « il y a encore beaucoup d’efforts à faire sur le terrain, en matière du respect des droits des populations », a souligné Christian Ouédraogo, chargé de campagnes à la section burkinabè d’Amnesty International.

 Active sur la problématique de la santé maternelle, la section a profité de la commémoration des 65 ans de la DUDH pour lancer un appel pour l’accès aux soins de santé maternelle, notamment par la levée des barrières financières, mais également pour l’abolition de jure de la peine de mort au Burkina Faso.

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Justin Yarga

Journaliste web qui teste des outils de Webjournalisme et datajournalisme, Media strategy consultant.

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2 commentaires

  1. FELICITATIONS SINCERES A LA SECTION BURKINABE D’AMNESTY POUR LA COMMEMORATION DES 65 ANS DE LA DUDH.COURAGE.

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