Institut des sciences (IDS) : Le Directeur général et le Secrétaire général suspendus

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Les élèves-professeurs de l’Institut des sciences (IDS), mobilisés depuis la semaine dernière (voir), ont finalement eu gain de cause. Le ministre des enseignements secondaire et supérieur (MESS), Filiga Michel Sawadogo, a décidé ce 1er décembre 2014 la suspension du Directeur général et du secrétaire général de l’IDS.

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Lucien Bonou, Directeur général de l’IDS et Denise Badini/Folané, secrétaire générale de l’IDS, ont été suspendus de leurs fonctions, par décision du MESS, Filiga Michel Sawadogo.

Les élèves-professeurs manifestent depuis la semaine dernière, réclamant la démission du Directeur général, désapprouvant sa gestion de l’institut, dont le renvoi d’un élève-professeur. Les manifestants ont ensuite porté leurs revendications devant le ministère ce 1er décembre 2014. Le ministre leur avait alors assuré qu’il allait trouver une solution à leurs revendications.

Avec Issouf NASSA (Stagiaire)
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Rédaction B24

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15 commentaires

  1. bravo aux ?l?ves professeurs, votre destin passe par votre prise de conscience et votre union pour la d?fense des causes justes. la survie de cet ?tablissement et sa bonne gestion vous incombent et vous devez la d?fendre. restez cependant vigilent pour qu'on vous envoie encore de pi?tres responsables. je crois en monsieur filga qui est int?gre. encore bravo

  2. Que son rempla?ant fasse mieux sinon insuffisance de preuves.

  3. Un peuple qui n’est pas capable d’assumer sa propre r?volte ne m?rite pas que l’on s?apitoie sur sur son sort

  4. JUSTICE POUR Les victimes sous la R?volution de SANKARA -Qui se souvient de Badembi? Pierre Claver N?zien ? R?fugi? ? la r?sidence de l?ambassadeur de France la nuit du coup d?Etat du 7 novembre 1982 qui amena le Conseil de salut du peuple (CSP) au pouvoir, il en ressortit la nuit du 9 avec la promesse des nouvelles autorit?s qu?il ne lui serait rien fait. Or, la m?me nuit il fut massacr?. Dans quelles circonstances, on ne le sait pas ? ce jour.

    M?mes myst?re et boule de gomme concernant le colonel Yorian Gabriel Som? et le commandant Fid?le Gu?br?. Retranch?s pour le premier ? la garnison de Ouahigouya, ? celle de D?dougou pour le second ? l??clatement de la R?volution le 4 ao?t 1983, ils consentirent ? revenir ? Ouagadougou apr?s que les nouveaux hommes forts avaient donn? leur parole d?officiers quant ? leur s?curit?.

    La nuit m?me de leur retour, soit le 9 ao?t, ils ?taient eux aussi zigouill?s dans les ge?les du Conseil de l?Entente.

    Et le commandant Amadou Savadogo, victime le 18 juillet 1984 d?un attentat sur le pont du barrage n?3 de Ouagadougou ? L?homme d?affaires et grand h?telier Valentin Kinda qu?on envoya assassiner ? Abidjan parce qu?il portait secours et assistance aux nombreux exil?s ayant fui la R?volution et trouv? refuge dans la capitale ivoirienne ?

    On se garde d?oublier le colonel Nobila Didier Tiendr?b?ogo et ses 6 compagnons d?infortune, accus?s de complot et sommairement ex?cut?s sous un baobab la nuit du 11 au 12 juin 1984, verdict d?une cour martiale exp?ditivement r?unie la m?me nuit.

    Et nous en oublions, tant la liste des crimes non encore ?lucid?s(2) est longue.

    Mais comme charit? bien ordonn?e peut aussi finir par soi-m?me, nous ne saurions, nous de L?Observateur Paalga, oublier ce crime contre la libert? de la presse et les libert?s fondamentales tout court que fut l?incendie de notre imprimerie et de tout notre fonds documentaire la nuit du 10 juin 1984, qui a r?duit le journal ? sept longues ann?es de travers?e du d?sert.Et tout ?a parce que la libert? de ton et les espaces d?expression libre que L?Observateur offrait aux citoyens ?taient jug?s incompatibles avec le r?le d?agit-prop que les r?volutionnaires entendaient assigner ? la presse. Ce ne fut pas la mort du seul journal mais celle de toutes ces libert?s d?mocratiques dont nous jouissons aujourd?hui.

    La preuve, personne, ? titre individuel ou collectif, n?osa ?lever la moindre protestation, encore moins organiser marche et meeting, pour exiger que la lumi?re f?t faite sur une telle forfaiture. Car qui ?tait fou !

    Nous aussi aimerions savoir qui a commandit? cet incendie et quels en furent les ex?cutants, quand bien m?me ils ne seraient plus de ce monde.

    Une telle v?rit? serait pour nous le plus grand pretium doloris, c?est-?-dire la plus grande r?paration morale.

    Comme on le voit, la Commission v?rit?, justice et r?conciliation qui sera incessamment mise en place aura du pain sur la planche si, comme on le souhaite, elle ne s?en tient pas aux cas m?diatiquement croustillants et politiquement corrects ? d?fendre.

    Chaque fois que nous osons ?voquer le sort de toutes ces victimes oubli?es, on en conna?t qui font une pouss?e d?urticaire parce que pour eux, ne sont dignes de rester dans la m?moire collective que les supplici?s qu?ils ont dans leurs ?ill?res politiques ou id?ologiques.

  5. Prenons garde ? ce qu’il n’y ait pas de d?sordre.Il ne suffit pas de faire chasser quelqu’un parce qu’il ne fait pas votre affaire ou parce qu’il ne veut pas de « libilibi ». Mauvaise gestion, c’est vague et le fait qu’on renvoie un ?l?ve prof n’est pas une raison suffisante.Le renvoy? a fait quoi pour qu’on le renvoie.Attention notre r?volution est une r?volution sans CDR brouettes ou droits.

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