Burkina : Environ 203 millions de F CFA pour renforcer la compétitivité du secteur privé

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Quatre structures œuvrant dans le secteur du management de la qualité ont été au cœur d’une remise symbolique constituée en grande partie de matériel informatique, bureautique et accessoires. L’Union européenne en est le donateur. La cérémonie a eu lieu à la Maison de l’entreprise du Burkina Faso (MEBF) ce mardi 14 juillet 2015.

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L’Association burkinabè pour le management de la qualité (ABMAQ), l’Agence burkinabè de normalisation de la métrologie et de la qualité (ABENORM), le Laboratoire national de santé publique (LNSP) et la DTA sont les bénéficiaires de cette aide émanant de l’un des principaux bailleurs de fonds du Burkina qu’est l’Union européenne.

Les représentants des bénéficiaires
Les représentants des bénéficiaires

Cette aide s’inscrit dans le cadre du Programme d’appui au développement du secteur privé (PADSP) qui a succédé au PRCE (Programme de renforcement des capacités des entreprises).

Le PADSP vise aussi le renforcement de la compétitivité du secteur privé. Et ce don d’une valeur d’environ 203 millions de F CFA est perçu comme une bouffée d’oxygène du côté des bénéficiaires.

« Constante et en constante évolution »

« Constante et en constante évolution », c’est ainsi que Thierry Barbé, chef de coopération de la délégation de l’Union européenne décrit l’aide apportée. La cérémonie de ce matin témoigne selon lui de l’ampleur de la coopération et de l’accompagnement constant de la structure.

De gauche à droite Thierry Barbé, Sibiri Sanou et Traoré Aboubacar le coordonnateur du PADSP
De gauche à droite Thierry Barbé, Sibiri Sanou et Traoré Aboubacar le coordonnateur du PADSP

Il  estime en outre croire fondamentalement en l’homme, à sa capacité d’imagination et de créativité pour sortir des situations les plus difficiles.

Il dit croire malgré tout que « le goût d’améliorer ses performances est dans la nature de l’homme ». Ce qui l’emmène à lier la défaillance au manque de moyens d’où la remise dudit matériel pour y remédier.

A César ce qui est à César

Il appelle néanmoins à plus d’engagement collectif, responsable et pleinement assumé par les bénéficiaires. « Il est fini le temps où les responsables ne remettaient jamais les ordinateurs portables à leurs institutions. Ne perdons donc pas de vue le bénéficiaire final de ce programme », s’est-il empressé d’ajouter.

« Le moteur de notre croissance économique »

C’est par un mot de reconnaissance que Sibiri Sanou, secrétaire général du ministère de l’industrie du commerce et de l’artisanat, venu représenter le ministre, a débuté son allocution. Partant de l’adage, « la reconnaissance est la mémoire du cœur », il estime que la gratitude quant à elle constituerait, non seulement la plus grande des vertus,  mais serait même la mère de toutes les autres.

Tout en assurant que « le secteur privé constitue le moteur de notre croissance économique », il juge important pour le département de doter le secteur de moyens pour arriver à faire face à la compétition internationale.

Oui Koueta

Burkina24

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Oui Koueta

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