Pécule des appelés: Le SND rencontre les gestionnaires des ressources humaines

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Le Service national pour le développement (SND) veut mieux faire connaître les modalités d’accomplissement du service national et vulgariser la nouvelle mesure portant revalorisation du pécule des appelés salariés. La rencontre d’échanges avec les gestionnaires des ressources humaines ce 26 février 2016 vise à harmoniser les méthodes de travail avec eux en les tenant informés des dernières mesures prises.

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« Le mode de recrutement a évolué. Le mode de calcul du pécule aussi a évolué », explique le colonel Hamado Dabré, directeur général du SND. Cette rencontre tripartite (SND-Solde-GRH), selon lui, était « plus que nécessaire » afin que l’incorporation comme la libération des appelés soient « plus fluides ».

Hamado Dabré, directeur général du Service national pour le développement (SND).
Hamado Dabré, directeur général du Service national pour le développement (SND).

La présente réunion répond ainsi aux préoccupations, notamment les gestionnaires des ressources humaines des différents services qui reçoivent les appelés dans le cadre de l’accomplissement de leur service national, « surtout en fin d’exercice », précise le colonel Dabré.

Il se félicite de la présence de quasiment tous les DRH des ministères. « Théoriquement », dit-il, tous les GRH sont au courant des nouvelles dispositions, « mais la mise en pratique demande autre chose ».

Des attentes du  directeur du SND

Hamado Dabré attend « désormais » de toutes les entreprises publiques et privées, exerçant au Burkina Faso, qu’elles déclarent leurs employés non à jour de leur service légal. Ses attentes se fondent sur l’article 10 de la Constitution qui stipule que « tout citoyen burkinabè (…) est tenu de s’acquitter du service national lorsqu’il en est requis ».

Le SND, un levain pour le développement

Levain « important » dans la stratégie de développement, « le SND est obligatoire et légal pour tout Burkinabè âgé de 18 à 30 ans »*. Relevant les insuffisances et les acquis de l’institution, Michée Worokuy, directeur de la mobilisation et de l’administration des appelés,  estime que « le SND ne devrait plus être vu comme une corvée ou une privation, mais plutôt un acte patriotique rendu à la nation »

Oui Koueta

Burkina24

*loi portant création du SND, article 3.

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Oui Koueta

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