Assemblée nationale : Le RPBDH affine son plan d’action 2017-2020

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L’agence des Etats-Unis pour le développement (USAID) et le National democratic institute (NDI) s’associent pour renforcer les capacités du pouvoir  législatif et promouvoir par la même occasion la redevabilité et la surveillance parlementaire. Cette fois-ci, la question des droits humains est au centre de l’appui à travers la validation du plan d’action 2017-2020 du Réseau des parlementaires burkinabè pour les droits humains (RPBDH).

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L’activité parlementaire, résume la représentante résidente du NDI, couvre toute la sphère des droits politiques, civils économiques sociaux et culturels et a donc un impact immédiat sur la jouissance des droits de l’Homme. C’est là ajoute Aminata Kassé, que se trouvent les raisons de la mise en œuvre du programme d’appui à l’Assemblée nationale financé par l’USAID.

De l’avis du coordonnateur du RPBDH Jacob Ouédroaogo, s’il a été décidé de la mise en place du réseau des parlementaires burkinabè pour la protection des droits humains, c’est parce que dit-il, « les députés burkinabè sont conscients du rôle que peut jouer le parlement dans la protection, la garantie et la réalisation des droits humains ».

Pour la représentante résidente du NDI, il s’agit là d’une « noble cause » que s’engagent à défendre les parlementaires qui s’assureront que les valeurs fondamentales et essentielles au développement de sociétés stables soient promues permettant ainsi aux Burkinabè de vivre en sécurité,  en paix les uns avec les autres. C’est donc naturellement qu’elle a exhorté les membres du RPBDH « à faire en sorte que les groupes marginalisés, vulnérables aient l’opportunité de contribuer à améliorer sensiblement l’Etat de droit, la démocratie, la bonne gouvernance pour un développement plus intégré au Burkina Faso ».

Quant au ministre des droits humains Réné Bagoro, il n’a pas caché sa joie de voir les parlementaires s’intéresser de manière plus spécifique à la question des droits humains à travers la création d’un réseau. Il s’est dit avant tout « heureux » de voir des parlementaires au-delà du vote des textes, du contrôle de l’action gouvernementale. Il a ensuite salué « un apport très important » des députés qui ont fait le choix de mettre en place un réseau pour essayer d’accompagner tous les acteurs oeuvrant dans le domaine des droits humains. Cela va permettre, dit-il, que les droits humains au Burkina Faso connaissent « un essor plus intéressant ».

Oui Koueta

Burkina24

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Oui Koueta

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