Santé au Burkina : Pour un médecin adapté au contexte burkinabè  

publicite

Les 10e journées du médecin du Burkina Faso 2017 se sont tenues du 1er au 3 juin 2017 à Ouagadougou. C’était une occasion de pouvoir tenir le 6e congrès ordinaire de l’ordre national des médecins du Burkina Faso. Mais les membres ont reporté ce congrès à une date ultérieure.

La suite après cette publicité

L’Ordre national des médecins du Burkina Faso (ONMBF) a organisé les 10e journées du médecin du Burkina Faso 2017, du 1er au 3 juin 2017 à Ouagadougou, sous le thème central « pratique médicale au Burkina Faso : actualités et perspectives ».

A la cérémonie de clôture, ce samedi 3 juin 2017, le président de l’ONMBF, Pr Ali Niakara, a fait comprendre que « l’on est très satisfait des 10e journées du médecin du Burkina Faso 2017 ».

En termes de perspectives, « c’est de définir le profil type du médecin qui soit adapté aux patients burkinabè et de voir comment maintenir ces compétences et ces capacités durant toute sa carrière professionnelle jusqu’à sa retraite », dit-il.  Dr Ali Niakara ajoute que ce sont de grands enjeux qui doivent pris en compte pour une pratique médicale performante adaptée au contexte burkinabè.

A la suite des ces journées du médecin burkinabè, place au 6e congrès ordinaire pour le renouvellement des membres du bureau du conseil national de l’Ordre des médecins, qui a lieu chaque deux ans.

Le congrès consiste à faire le bilan du bureau sortant et d’élire un bureau entrant. Ce samedi 3 juin, les médecins n’ont pas pu élire le nouveau bureau.

« C’est parce que le quorum n’a pas été atteint. Certainement, certains médecins pour des occupations dans leurs centres médicaux sont repartis. Or nos textes exigent 1/3 des médecins inscrits», a expliqué le Pr Ali Niakara.

 Il continue la justification en précisant qu’on «ne peut pas déshabiller tout les centres de santé pour amener les médecins pour faire un congrès ».

Cette rencontre est renvoyée à une seconde assemblée générale qui doit se tenir dans un délai maximum de trois mois. « Quel que soit le nombre de médecins, même si on est trois, il faut tenir le congrès », a-t-il lancé.

Jules César KABORE
Burkina24

❤️ Invitation

Nous tenons à vous exprimer notre gratitude pour l'intérêt que vous portez à notre média. Vous pouvez désormais suivre notre chaîne WhatsApp en cliquant sur : Burkina 24 Suivre la chaine


Restez connectés pour toutes les dernières informations !

publicite


publicite

Rédaction B24

L'actualité du Burkina 24h/24.

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page
×