Burkina : Les syndicats de l’éducation annoncent des « avancées » dans les négociations

publicite

Les négociations se poursuivent entre syndicats de l’éducation et le gouvernement. Le mardi 16 janvier 2018, après près de deux heures de conclave, les deux parties ont annoncé des « avancées » dans les négociations. Mais celles-ci se poursuivent le 17 janvier 2018.

La suite après cette publicité

Le Premier ministre Paul Kaba Thiéba a dit sa « satisfaction » à l’issue de la rencontre avec les syndicats de l’éducation regroupés au sein de la Coordination nationale des syndicats de l’éducation (CNSE), le mardi 16 janvier 2018 à la Primature pour une sortie de crise.

Il a annoncé des « avancées » et dit être convaincu que sur la base des discussions, « dans un proche avenir, des solutions définitives » pourraient être trouvées pour une sortie de crise définitive. Le coordinateur de la CNSE, Wend-Yam Zongo, a également fait mention des « avancées ». « Des propositions nous ont été faites », lance-t-il sans pour autant livrer le contenu.

L’argument avancé est que « les syndicalistes n’aiment pas les propos verbaux. Nous aimons ce qui est concret ». Et pour concret, les syndicats de l’éducation ont demandé à ce que les propositions soient mises sur papier, « dans un document », pour mieux analyser et apprécier. Mais, les bases concernent l’ensemble de la plateforme, informe Wend-Yam Zongo.

Ignace Ismaël NABOLE

Burkina 24

❤️ Invitation

Nous tenons à vous exprimer notre gratitude pour l'intérêt que vous portez à notre média. Vous pouvez désormais suivre notre chaîne WhatsApp en cliquant sur : Burkina 24 Suivre la chaine


Restez connectés pour toutes les dernières informations !

publicite


publicite

Ignace Ismaël NABOLE

Journaliste reporter d'images (JRI).

Articles similaires

Un commentaire

  1. MA CONTRIBUTION POUR UN BURKINA DE PAIX, DE PROGRES SOCIO-ECONOMIQUE ET CULTUREL
    1- initier une rencontre CNSE- président du Faso pour accéder à leur revendication dans l’optique d’apaiser le climat social et éviter une année blanche
    2-Sacrifier Simon Compaoré quitte à le placer président de l’AN après les élections de 2020 en le nommant premier ministre jusqu’aux élections tout en lui permettant de redonner une dynamique nouvelle aux différents ministères
    3-former un gouvernement de quinze ministre de quinze à vingt membres : premier ministre : Simon Compaoré (1-ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale, 2-ministre de la défense et de la securité-3-ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation, 4-ministre de la prospective, de l’économie et des finances,5-ministre de l’éducation nationale,6-ministre de l’énergie des mines et des carrières, 7-ministre de l’agriculture, de l’hydraulique, des ressources animales, 8-ministre de la jeunesse, des sports, de la culture, des arts et du tourisme,9-ministre de l’environnement ,des ressources halieutiques et de l’économie verte10-ministre de la fonction publique, du travail et de la protection sociale11-ministre de la santé, de la famille et de l’action sociale, 12- ministre du commerce des infrastructures ,des transports de la mobilité urbaine et de la sécurité routière, 13-ministre de l’habitat et de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire14-ministre de l’innovation et de la recherche scientifique15-ministre de la communication, de l’économie numérique porte-parole du gouvernement, commerce, justice et droits humains….. : on peut conserver les ministres Barry, Dissa, Djandjnou, Alkassoum, Sory, ceux qui mouillent le maillot vraiment
    4-prendre une grille spéciale fixant le salaire indiciaire de ces ministres à 500 000F.
    5-reduire de 50% le budget de l’assemblée nationale ainsi que des ministères et institutions
    6-Ne verser un salaire à un ancien président que s’il ne réside sur le sol burkinabè et jouit de tous ses droits
    7-Ne plus verser des rémunérations et des émoluments qu’à des agents occupant effectivement des postes de travail
    8- supprimer progressivement les cadres parallèles à l’administration et institutions budgétivores (représentant spécial du président, HCDS HCRUN CES médiateur -CSC, CIL, ASCEE…
    9- remettre à plat la grille salariale de la fonction publique (à diplôme égal=salaire égal)
    10-initier des concertations pour réfléchir sur la fonction publique burkinabè (création d’un site pour demander des propositions puis lors des rencontres syndicats-gouvernement pour la refonder
    11-redonner à l’administration publique sa force d’antan. Tous les problèmes devront trouver leur solution dans les différents ministères
    12- responsabiliser la justice en fixant des échéances raisonnables pour vider les crimes économiques et de sang et en travaillant pour une véritable justice sociale dans les délais prescrits. Permettre à tout citoyen d’ester en justice toute personne responsable ou complice de malversations
    13-créer un collège de sages ( Moogho Naba, Naba Tenkodogo, Naba Yatenga, Naba Gourma, Naba Bobo,Dima Boussouma, le cardinal, le président de la communauté musulmane, protestante, les anciens chefs d’état au Burkina , l’UAS, les recteurs d’université publique, le chef de file de l’opposition, le président du parti majoritaire ) pour créer les conditions d’une réconciliation nationale pérenne
    14- permettre au collège de sages de travailler à refonder la société burkinabè (une société tournée vers des valeurs) et notre démocratie en l’adaptant à nos valeurs socio-culturelles

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page
×