Botswana : La dépénalisation de l’homosexualité adoptée

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La Haute Cour du Botswana a prononcé la dépénalisation de l’homosexualité rejetant les lois qui imposent jusqu’à sept ans de prison pour les relations homosexuelles. 

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En dépénalisant l’homosexualité, la Haute Cour du Botswana a brandi le caractère anti constitutionnelle de la loi qui frappait de jusqu’à sept ans d’incarcération les relations homosexuelles.

A l’origine de cette affaire, un étudiant ayant porté plainte, brandissant l’argument que la société avait changé et que l’homosexualité rentrait désormais dans les mœurs.

Le code pénal du Botswana, en vigueur depuis 1965 (adoptée par le gouvernement colonial britannique), interdit les relations entre personnes du même sexe dans ce pays considéré comme l’un des Etats africains les plus démocratiques.

Au Kenya, la communauté continentale LGBTQ (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenre, queers) a essuyé un revers en mai 2019, la Haute cour du pays ayant refusé de dépénaliser l’homosexualité.

Le mois dernier, la Haute cour du Kenya avait refusé d’abroger les lois réprimant les relations homosexuelles, douchant les espoirs de la communauté continentale LGBTQ (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenre, queers).

Le Botswana rejoint ainsi, l’Angola, le Mozambique et les Seychelles qui ont abrogé des lois antigays ces dernières années.

Pour ce qui est de l’Afrique du Sud, pays voisin du Botswana, de par sa Constitution adoptée en 1996 est fondamentalement tournée contre la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle.

Kouamé L.-Ph. Arnaud KOUAKOU

Burkina 24

Source : BBC Afrique

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Un commentaire

  1. Construisez des hôpitaux pour soigner ces malades mentaux. Si cette animosité de l’homme devrais arriver au Faso, je ne souhaite pas que cela me trouve sur terre. Et je vais vous ajouter une chose: dans aussi dans l’impossibilité de barrer la route à la dépravation des mœurs que certaines personnes ne trouvent pas d’autres solutions que la « violence » .

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