Santé sexuelle et reproductive : Un nouveau plaidoyer au Burkina

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Les membres du groupe technique santé de la reproduction (GTSR) ont animé un atelier pour le lancement du projet sur les activités d’amélioration de la performance des politiques et stratégies des Droits et santé sexuelle et de la reproductive (DSSR) en Afrique de l’Ouest et Australe au Burkina Faso ce vendredi 13 septembre 2019 à Ouagadougou. Ce projet va contribuer au renforcement et à l’amélioration des capacités des droits et santé sexuelle et de la reproduction.

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Le lancement du projet « activités d’amélioration de la performance des politiques et stratégies des droits et santé sexuelle et de la reproduction (DSSR) en Afrique de l’Ouest et Australe au Burkina Faso » est une initiative d’un consortium d’organisations constitué de conseils et appuis pour l’éducation à la base (CAEB), de la coalition régionale des organisations de la société civile pour le repositionnement de la planification familiale (CROSC/PF), d’humanité et inclusion (HI), et d’Ebenezer international (EI).

Le projet ambitionne faire le plaidoyer et aider à améliorer la politique et la stratégie DSSR et faciliter le renforcement des capacités, l’engagement et la mise en réseau des organisations de la société civile pour une meilleure mise en œuvre, le suivi et l’évaluation d’impact des politiques.

Simplice Toé, chef de file de GTSR, a lancé que « sans être en concurrence avec les autres pays impliqués dans cette initiative, il nous appartient d’œuvrer à maintenir le leadership de notre pays dans le domaine de la santé en général, et de la santé de la reproduction en particulier ». Ainsi, pour relever le défi et atteindre les résultats escomptés, Simplice Toé a sollicité une mobilisation et une forte implication de tous les acteurs et membres du comité.

Pour Dr Ida Kagoné, secrétaire technique chargée de l’accélération à la transition démographique (ST/ATD), ce projet est louable et vient à point nommé dans la politique de contribution à l’amélioration continue des indicateurs en matière de santé dans le pays.

« Le Burkina Faso est classé premier grâce à ses performances sur le pourcentage du budget de l’Etat dédié à la santé. Ce pays a aussi obtenu des scores importants concernant le taux de prévalence du VIH, le taux de prévalence contraceptive et le pourcentage de femmes utilisant une méthode moderne », a-t-elle indiqué. Cependant, cette affirmation ne devrait pas faire perdre de vue les défis qui sont posés. Alors, ces défis dit Dr Ida Kagoné, demandent plus d’efforts et d’investissements pour maintenir le cap et renforcer les acquis.

Elle reste convaincue que dans la synergie d’action et avec une bonne complicité entre le gouvernement et l’ensemble des partenaires, ils pourront juguler les problèmes objets de leurs préoccupations communes.

Aïna TOURE (stagiaire)

Burkina 24

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