Burkina Faso : La Primature présente ses « sincères excuses » pour une erreur sur un décret

publicite

Le Premier ministère a présenté ses excuses sur sa page Facebook, ce mardi 5 mai 2020, suite à l’erreur du cachet apposé sur le décret portant restriction des libertés au titre des mesures de lutte contre la pandémie du Covid-19.

La suite après cette publicité

Instant de flottement ce 4 mai 2020 au niveau de la Primature. Le décret du Premier ministère sur les mesures restrictives, daté du 30 avril 2020, est apparu au public avec un cachet de la Présidence du Faso. Le Service d’information du gouvernement a envoyé un mail aux médias pour relever l’erreur et demander de ne pas exploiter le document.

Finalement, c’est la Primature elle-même qui présente ses excuses ce 5 mai 2020 pour « l’erreur qui s’est glissée dans le circuit du traitement du texte » et qui a été corrigée « dans la nuit » du 4 mai 2020.

«Nous avons constaté, avec regret, que sur le décret N° 2020-0323/PM/MDNAC/MATDC/MSECU/MS/MTMUSR/MCIA du 30 avril 2020, portant restrictions de libertés au titre des mesures de lutte contre la pandémie du COVID-19, le cachet du Président du Faso a été apposé, en lieu et place de celui du Premier Ministre. C’est une erreur qui s’est glissée malheureusement dans le circuit du traitement du texte.

Tout en présentant nos sincères excuses au public, nous voudrions rassurer l’opinion, de l’authenticité dudit document. Des mesures ont été immédiatement prises dans la nuit pour apporter les corrections nécessaires », peut-on lire sur la page Facebook du Premier ministre, signé par la Direction de la communication et des relations publiques de la Primature.

            

Écouter l’article
❤️ Invitation

Nous tenons à vous exprimer notre gratitude pour l'intérêt que vous portez à notre média. Vous pouvez désormais suivre notre chaîne WhatsApp en cliquant sur : Burkina 24 Suivre la chaine


Restez connectés pour toutes les dernières informations !

publicite


publicite

Articles similaires

Un commentaire

  1. Ne confondons pas incompétence administrative et erreur de traitement.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page
×