Burkina Faso : L’ADF-RDA pose ses bases pour les prochaines élections

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L’Alliance pour la démocratie et la fédération-rassemblement démocratique africain (ADF-RDA) a tenu sa conférence nationale des candidats ce samedi 26 septembre 2020 à Ouagadougou. Au menu des échanges, mettre en place une stratégie pour les prochaines élections de novembre 2020.

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L’ADF-RDA, parti de l’opposition, a tenu sa conférence nationale avec l’ensemble des candidats investis par le parti pour les élections couplées présidentielle et législatives du 22 novembre 2020. Le parti compte 70% de jeunes et 25% de femmes sur les listes électorales.

Pour le président du parti Gilbert Ouédraogo, ce rendez-vous revêt une grande importance pour le parti car il va permettre de tracer les sillons pour les prochaines élections. « La rencontre a pour objet d’échanger avec les candidats sur notre stratégie pour l’élection présidentielle et pouvoir les outiller pour qu’ils repartent sur le terrain pour se préparer pour ce combat qui commence très bientôt », a-t-il expliqué.

L’objectif premier, à en croire le président du parti est de remporter les élections et d’être le parti majoritaire pour au niveau de l’Assemblée nationale.

Le parti de l’éléphant aborde ces élections avec optimisme et entend se démarquer pour se hisser en haut de la marge.

« Ces élections sont les plus ouvertes de l’histoire de notre pays »

Le président du parti a par ailleurs indiqué que « ces élections sont les plus ouvertes de l’histoire de notre pays ».

« Nous entendons souvent d’autres parler de coup KO. On se pose la question de savoir avec le bilan désastreux qui est le leur, si ce n’est pas un coup KO qu’ils vont s’infliger à eux-mêmes », a-t-il dit.

Se prononçant sur la polémique de l’ancien ministre Yacouba Zida,  Gilbert Ouédraogo a expliqué que tous les fils du Burkina Faso devraient pouvoir rentrer au pays dès qu’ils en ont l’envie. Pour lui, il faut avoir une hauteur d’esprit pour travailler de façon collégiale dans la construction de la nation. « Pour moi, tous les fils et toutes les filles du Burkina qui sont à l’extérieur doivent pouvoir rentrer. Mieux, on doit organiser leur retour dans des conditions de respectabilité et des conditions de dignité », a-t-il conclu.

Corine GUISSOU (stagiaire)

Burkina24

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