Conseil Economique et Social : Des recommandations pour un Burkina stable et prospère

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Les travaux de la deuxième session ordinaire au titre de l’année 2020 du Conseil Economique et Social (CES) ont pris fin dans l’après-midi de ce lundi 19 octobre 2020, dans les locaux de ladite institution. C’est le président du CES, Moïse Napon, qui a présidé la cérémonie de clôture.

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Le président du Conseil Economique et Social (CES), Moïse Napon, a clos dans l’après-midi de ce lundi 19 octobre 2020 à Ouagadougou, la deuxième session ordinaire de l’institution au titre de l’année 2020.

La session a pour thème « Stratégies de mobilisation des ressources endogènes pour un développement durable au Burkina Faso : Etats des lieux, défis et perspectives ». La cérémonie a été consacrée à la synthèse des travaux et au discours de clôture.

Durant 21 jours, les participants ont débattu sur les sujets visant à déterminer les solutions novatrices à mettre en œuvre pour assurer une mobilisation des ressources endogènes afin de répondre aux aspirations des populations.

Participer efficacement à la lutte contre la fraude

Cette deuxième session a permis aux conseillers de procéder à un examen approfondi de l’état des lieux de la mobilisation efficace des ressources intérieures du pays, tout en identifiant les impératifs de la mobilisation des ressources endogènes pour un développement durable du Burkina Faso.

Le CES, au cours de la session, a formulé des recommandations, à l’endroit de l’Etat, des collectivités territoriales et des acteurs de l’économie informelle. L’Etat, selon les conclusions des travaux, devra agir dans deux directions : le renforcement de l’organisation et des capacités institutionnelles et l’optimisation des ressources endogènes au niveau des secteurs stratégiques.

Les collectivités territoriales, elles,  devront agir dans le sens du renforcement de l’organisation et des capacités institutionnelles et l’exploitation des niches. Les acteurs de l’économie informelle devront, quant à eux, cultiver le civisme fiscal en payant régulièrement les taxes et impôts, et participer efficacement à la lutte contre la fraude.

Pour un pays stable et prospère…

Le président du CES, Moïse Napon, dans son discours de clôture, s’est réjoui du travail qui a été accompli dans les délais prévus, ainsi que les recommandations formulées à l’attention du gouvernement.

« Le développement durable de notre pays a un prix à payer et chaque personne morale, chaque citoyen à quelque niveau qu’il soit, doit y consentir. C’est pourquoi, au moment où s’achèvent nos travaux, je reste convaincu que la mise en œuvre des recommandations qui ont été adoptées à l’issue de cette session permettra de construire par nous-mêmes, pour nous-mêmes et pour les générations futures, un pays stable et prospère », a indiqué Moise Napon.

Flora KARAMBIRI (Stagiaire)

Burkina 24

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